( 7 juin, 2015 )
Et si j’étais…
Du quand j’étais à si j’étais
il s’en est passé des semaines
reste je suis et je serai
jamais plus mise en quarantaine.
Appris la faiblesse des hommes
les faux semblants, les faux serments
loin du brouhaha des hommes
la belle s’en va en chantant.
Le temps passe inexorable
c’est tant mieux je le crois
la réalité reprend sa place
Il n’y a jamais eu de rois.
Du quand je suis ou je serai
les blessures doucement se ferment
laissons tomber le parfait,
l’imparfait du conditionnel..
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